lundi 6 septembre 2010

Acte 1, préambule : Randonnée pedestre

Oui, randonnée pédestre car, il faut bien le dire, une randonnée sur la tête aurait été bien plus douloureuse et ce n'aurait peu être pas été une bonne idée avant même mon premier véritable jour de travail!

Après une bonne nuit de sommeil, je rencontrai quelques chercheurs -qui parlent tous parfaitement anglais, normal-, et d'autres personnes du centre (entretiens, ouvriers pour les travaux) -qui parlent également parfaitement anglais, bien plus rare en France d'après moi- alors qu'Esben me faisait visiter le centre.
Je pouvais ensuite avoir ma journée libre -je prenais soin d'emporter avec moi quelques documents de biblio pour me préparer à la suite-. Je pris alors une décision très importante : celle d'aller faire des courses!
Je repris donc mon sac de rando pour repartir à l'aventure.


Je tombais alors nez à nez avec quelques beautés architecturales, mais le plus marquant furent mes premières courses (qui méritent d'ailleurs un articles à part une fois que j'aurai pris le temps de faire mon touriste à photographier des étals de produits aux noms improbables et à l'allure mystérieuse)





Je partais alors une nouvelle fois à l'aventure après une tentative raté aux alentours de 12h d'un déjeuner avec les gens du centre (cf article ultérieure sur le rythme norvégien).

Le sentier longe un ancien bassin construit à l'ouverture du centre, qui s'étend d'ailleurs véritablement à la lisière des bois. Ici le centre, et, si je me retourne simplement pour prendre une autre photo...
Ça donne à peu près ça!
La Norvège est véritablement un pays (ou en tout cas dans la partie que j'en ai vu jusqu'à présent) bien moins colonisé par l'homme. Les villes sont rares et assez espacées et les forêts sont omniprésentes. A quelques mètres à peine du centre, j'ai même entre-aperçu un daim!
On entre-aperçoit par moment des habitations entre les arbres, parfois séparés par un epsilon (ou soupçon) d'océan.
A oui, car, je ne l'ai pas mentionné plus tôt, mais le centre se trouve en fait sur une île! Relié bien sûr par un pont bien solide au reste du pays. Enfin j'espère qu'il est solide, histoire de ne pas commencer à dériver.
NB: Car oui, vous le savez, les îles sont comme les îles flotantes -d'où le nom-, rien ne les retient par dessous. La seule différence, à par la taille bien sûr, c'est que la crème anglaise n'est pas emplis de mes amis homards, crabes et méduses. Enfin, tout dépends de la qualité de l'établissement dans lequel vous commendez ce dessert succulent.


Lorsque j'atteins finalement la côte, je m'arrête instantanément de dire des bêtises. Le vent caresse mes cheveux et me donne instantanément le 'ocean style' qui m'accompagnera presque tout les jours passé ici.




Le reste se passe de commentaire je pense...

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